Vous avez entendu parler de courtier en assurances ou de courtier en prêt immobilier : mais avez vous entendu parler de “courtier en travaux” ? C’est un métier adapté aux personnes en reconversion professionnelle. Or, nombreux sont ceux et celles qui réfléchissent à changer de cap entre 30 et 50 ans. Voici quelques repères statistiques : Avant la crise sanitaire, en 2015, 33 % des salariés souhaitaient changer de métier ou d’orientation professionnelle. Un taux qui est monté à 47% en 2021 ! Et aujourd’hui, métier de courtier en travaux est en attente de volontaires qui oseront se lancer dans l’aventure de l’entreprenariat. Les franchises l’ont bien compris : dans ce domaine, il y a du travail ! Cependant, il est aussi possible de s’installer de manière indépendante et de monter sa propre entreprise. Il faut simplement s’assurer que la zone de chalandise est suffisamment dynamique en termes de rénovation pour y positionner sa nouvelle entreprise.
Quel est l’ADN du métier de courtier ?
Toujours un pied dans le monde de la construction et un autre dans le monde commercial, le courtier en travaux est une sorte de chef d’orchestre, un acteur de mise en relation : d’un côté, il facilite la vie et le travail des artisans en leur rapportant des affaires ; Et de l’autre, il rassure et accompagne des porteurs de projet (particuliers ou professionnels) pour leur trouver les interlocuteurs de mise en œuvre travaux. Pour assurer de manière performante cette médiation, il est nécessaire que le courtier soit à la fois à l’aise au plan relationnel et qu’il connaisse assez bien le monde de la construction. Ainsi, le courtier en travaux est une personne qui va aider à bien définir le projet de rénovation ou de construction, jusqu’à la rédaction d’un petit cahier des charges à l’usage des artisans pour la levée des devis. De plus, il est à même d’évaluer à l’avance le coûts des travaux et de l’annoncer à ses clients : cette expertise est très précieuse et rassure grandement. Ensuite, c’est lui aussi qui va négocier les devis, de manière à protéger l’économie du projet. Enfin, il est capable de surveiller la mise en œuvre des travaux et de rédiger un petit compte rendu de suivi pour ses clients, surtout s’ils ne sont pas sur place. Si vous n’avez pas toutes les compétences requises pour vous lancer, la plateforme de formation de l’IFCT pourra vous y aider !
Conclusion
Si vous hésitez encore à vous lancer dans l’aventure, je vous invite à lire les témoignages des anciens stagiaires qui nous racontent leur expérience. Le parcours de chacun est unique. Mais, vous vous sentirez peut-être proche de l’un d’eux ou de l’une d’elles. Et, si vous souhaitez les contacter de vive-voix, vous pourrez aisément le faire, car leur site web est référencé.